mercredi 10 décembre 2014

Inscription



1ère  BIPLETTE MAXIMOISE

     
Le SMVB organisera les 29/12 et 30/12/2014  sa 1ère biplette.

Cette compétition de volley-ball sur terrain réduit se joue en 2/2, et est ouverte aux licenciées nées entre 1998 et 2005.

Elle se déroulera à la salle « les Bosquettes » de Ste-Maxime.

Le 29/12 de 10h à 18h pour les catégories 98-99-2000-2001 sur terrain de 6 m sur 6 m ;  hauteur 2, 24m.

Le 30/12 de 10h à 18h pour les catégories 2002-2003-2004-2005, sur terrain de 4,5 m sur 4,5 m ;  hauteur 2, 10m.

Il est demandé aux équipes d’être présentes dès 9h40 pour la vérification des inscriptions.

La compétition commencera dès 10h précises, et sans interruption à midi.
Le formulaire d’inscription est à retourner impérativement auprès d’Eric Lafalize ou via son mail : info@paradisevillage.fr, pour le 23/12/14 au plus tard.

La confirmation de votre inscription vous parviendra pour le 27/12,  accompagnée du règlement de la compétition.

L’inscription à ces journées est gratuite.

L’important étant de participer et de s’amuser, choisissez rapidement une partenaire afin de constituer votre paire la plus complémentaire possible.



              
Formulaire d’inscription à retourner auprès d’Eric LAFALIZE  ou par mail  (info@paradisevillage.fr)  pour le 23/12/14 au plus tard

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1ère  BIPLETTE MAXIMOISE


Joueuse  1 :

Club…………………………………………………………

NOM : ……………………     PRENOM : …………………………..

Date de naissance : …………………………………………………..

Téléphone :……………………..  Mail : ……………………………

Signature :

Joueuse  2 :

Club ……………………………………………………….

NOM : …………………..  PRENOM : …………………………….

Date de naissance :  …………………………………………………

Téléphone : ……………………..  Mail : ……………………………

Signature :



Participeront à la 1ère Biplette Maximoise

è Le 29/12  (catégories 98-99-2000-2001)

è Le 30/12  (catégories 2002-2003-2004-2005)

  (rayer la date qui ne vous concerne pas)

mardi 25 juin 2013





Tarifs d'inscription: 15€ par joueur(se) adulte, 8€ par joueur(se) jeune. Tarif préférentiel si inscription en ligne: 10€ pour chaque adulte, 5€ pour chaque jeune. Attention, nombre d'équipes limité!!!!!

Pour l'inscription en ligne, voici le lien pour le formulaire, à copier dans votre barre de navigateur:

https://docs.google.com/forms/d/1xQu3362bEJmnv6vFXpabuGqC-LckeYdygX72-49zOIs/viewform


lundi 17 juin 2013

Et voici une partie du bilan de l'année de Guillaume Servageon (président de la commission technique) qu'il a présenté à l'assemblée générale du comité du Var. Vous y trouverez un constat assez semblable à celui d'Eric Lafalize, particulièrement en ce qui concerne l'état d'esprit et la qualité de l'opposition que nos filles ont durant la saison. A savoir: la majorité de la sélection du Var benjamines est maximoise.


"compétitions
Finale de Zone Méditerranée :
La finale de la zone méditerranée s’est déroulée les 11 et 12 Mai derniers à Gap.
Les 2 sélections engagées dans la compétition ont connu des fortunes diverses malgré
qu’elles aient terminé à la même place (4ème).
La sélection féminine est elle malheureusement revenue à un niveau plus cohérent avec ce
que l’on peut voir en championnat contrairement à l’année précédente (terminant 4ème des
Mini‐volleyades).
Même si elles représenteront le Var lors des Mini‐Volleyades les 08 et 09 Juin prochain à
Poitiers, le manque de compétitivité de l’équipe au niveau national très compliqué. Elle doit en grande partie son
salut à une très bonne qualité de service des joueuses.
Même en se basant sur l’ossature de la meilleure équipe du Var, les joueuses se retrouvent
confrontées à des problématiques qu’elles n’ont pas en championnat du Var, l’équation est
donc difficile à résoudre.
Le problème étant récurrent depuis plusieurs années et le niveau des finales zones
augmentant avec des départements émergeants notamment, des réflexions se doivent
d’être menées pour éviter au Var de se voir constamment privé des Mini‐volleyades dans les
années à venir.
4 – Bilan
Minimes :
La bonne génération benjamine de l’année dernière a rendu l’accession aux stages
compétition et formation plus facile ce qui prouve qu’une légère augmentation du niveau de
manière permanente permettrait rapidement d’équilibre le rapport entre les joueuses de la
Côte d’Azur. La différence de dimension physique s’est quelque peu atténuée mais les
savoirs faire technico‐tactiques demeurent toujours en faveur du voisin Maralpin.
Sélection du Var :
En féminin, le niveau est clairement retombé par rapport à l’année précédente. Il semble
toutefois que certains clubs travaillent de mieux en mieux sur leur formation mais la
compétitivité du département est problématique pour le moment.
Le manque de combativité et de dépassement de soi est ce qui saute le plus aux yeux
comparé aux autres sélections que nous rencontrons.
Stages :
Le rapport de qualité garçons/filles était équilibré cette année, chaque groupe étant très
hétérogène en qualités physiques comme en savoirs technico‐tactiques.
Toutefois globalement, un manque de culture sportive et de culture volley est à toujours à
signaler, les stagiaires ayant très peu de notions de savoirs être à l’entrainement et
d’objectifs sportifs. Les entraineurs de clubs rencontrant les mêmes problèmes évidemment,
des solutions sont peut‐être à réfléchir.
En conclusion, une nouvelle fois la formation du jeune joueur est l’affaire de tous et doit être
une des priorités de l’ensemble des clubs du département. Il apparait clairement un
problème de « culture de la gagne » chez presque tous les jeunes varois et varoises. Le
problème n’étant pas générationnel puisque les autres sélections que nous rencontrons ne
se comportent pas de la même manière, il doit constituer le cheval de bataille de tous les
clubs pour les années à venir."
Le président de la Commission Technique
Guillaume SERVAGEON
Comme promis lors de l'assemblée générale du club, voici le compte rendu de notre entraîneur général Eric Lafalize sur la saison qui vient de s'écouler.



"Vous aurez toutes et tous lu et entendu dans les  commentaires des entraîneurs des diverses sections les excellents résultats de toutes les équipes engagées dans le club.
Un bilan général qui a apporté aux joueuses comme aux entraîneurs sa dose de satisfactions rationnelles comme émotionnelles.
Ces résultats ayant été longuement listés, je vais donc sortir quelque peu du cadre en vous peignant une idée de l’entraînement….Petit tour du propriétaire….
Pour les Cadettes restantes, entourées chaque fois de certaines minimes, on enregistre des progrès techniques qui ont permis d’enfin faire des entraînements dignes de ce nom. On est loin de la plaine de jeux d’il y a trois ans. Chaque séance a trouvé en général des joueuses sérieuses et appliquées, répondant parfaitement aux exercices qui étaient proposés. Une agréable surprise.
Pour les Minimes, il s’agit certainement de la plus grosse satisfaction. J’ai trouvé dans ce groupe une modification des comportements par rapport à leurs années benjamines qui n’avaient pas été faciles.
Une équipe engendrant un bien meilleur climat positif et une plus grande implication à l’entraînement.  Des filles plus concentrées sur la tâche sportive, et qui commencent à assimiler et à répondre aux critiques positives comme négatives. On perçoit chez elles  les prémices d’un travail autonome.  Pour résumer en un seul mot : CONTINUEZ !
Les Benjamines 2, composées de  1ère année et de débutantes ont apporté également leur lot de satisfactions à l’entraînement.  A l’écoute et prédisposées à trouver leur plaisir dans le jeu volley-ball, elles ont répondu présentes à tous les types d’entraînements qui leur ont été proposés. La translation de ce plaisir s’est vue sur les différents plateaux, avec des matches bien agréables à regarder.

L’exceptionnel bilan des Benjamines 1 est sans doute l’arbre qui cache la forêt.
Ne nous voilons pas la face. La gestion de ce groupe fut difficile. Encore plus que les minimes actuelles à leur âge.
La saison avait pourtant bien commencé avec un groupe qui semblait à l’écoute, sans caractères dominateurs difficiles à gérer.
Grave erreur. Dès janvier, il fallait passer plus de temps à la gestion mentale et aux frictions internes qu’aux entraînements technico-tactiques.
La faute à qui ? Probablement à tous.
Comme je l’avais déjà  dit pour le groupe précédent la saison passée, le fait d’avoir une vision très axée compétition Championnat – Coupe de France, à laquelle il faut également ajouter le fait que la plupart de ces filles soient retenues en Sélection, crée dans les esprits une obligation de résultats.
Pas facile à gérer pour ces jeunes qui n’ont pas encore les planches techniques mais surtout mentales pour répondre aux diverses exigences demandées par les entraîneurs concernés, et à l’obligation de résultats créée par leur environnement extérieur (club, parents, ligue…)
Ne tirons donc pas sur l’ambulance et essayons plutôt de tirer parti des enseignements de cette saison pour mieux faire face l’an prochain dans toutes nos équipes.
Avec à mes yeux un but : amener la joueuse dans des dispositions mentales les plus favorables pour lutter en compétition.
La diminution des aptitudes techniques ou tactiques découle de blocages mentaux parfois visibles avant la compétition. Face à la peur de l’adversaire, crainte de l’échec ou appréhension du succès, certaines déchargent leurs responsabilités sur leur environnement extérieur.
La tension avant un match important est nécessaire et positive tant qu’elle ne devient pas facteur de stress paralysant.
Il faut donc parvenir à réguler cet état de tension chez nos joueuses. Notamment par un entraînement qui les mette sous tension, afin d’acquérir contrôle de soi et adaptations face à diverses difficultés ou exigences.
Grâce à l’entraînement et la réussite d’exercices, la jeune joueuse pourra trouver de solides points d’ancrage pour écarter ses doutes.
D’autre part, l’essentiel en compétition demeure la volonté, épaulée par le désir de réussir, et qui mène au plaisir.
Certaines s’imaginent avoir des qualités athlétiques  qu’elles ne possèdent pas encore et se croient parvenues à un degré de perfectionnement  dont elles sont encore loin. Ce manque de connaissance de sa valeur et de ses aptitudes se manifeste par une absence de discernement. Cela empêche de dominer les circonstances ou des situations nouvelles.
Hors des habitudes techniques et tactiques acquises, certaines sont vite résignées et démissionnent facilement car elles ne trouvent pas de solutions.
Parfois car elles ont atteint la limite. Mais le plus souvent, car elles n’ont pas la maîtrise mentale pour surmonter les difficultés.
Pour l’entraîneur, diagnostiquer les capacités et les possibilités d’atteindre un certain niveau chez la joueuse  n’est pas la plus grande des difficultés. Par contre, connaître les traits propres à chaque individu et mettre à nu son véritable profil psychologique, ensuite le faire évoluer individuellement et dans une dynamique de groupe, peut s’avérer être un fameux parcours du combattant.
L’entraînement doit donc à la fois leur permettre de reculer leurs limites mais aussi être dans le perpétuel dépassement réajusté de soi, via courage physique et force morale.
Mais il ne peut porter ses fruits que si la joueuse met sa conscience intelligente au service des exercices et critères de réussites demandés par le coach.
S’entraîner, c’est directement être responsable de ses actions, se former avec rigueur, méthode et persévérance. Avoir la volonté de toujours mieux faire et s’éprouver dans le goût à l’effort pour améliorer son rendement.
Quand le geste commence à être plus assuré, le sentiment de la difficulté vaincue devient l’élément essentiel de l’euphorie vers l’envie de continuer à progresser.

Pour l’ensemble du club, ma première année a été celle de l’inventaire du matériel humain à disposition, des prérequis et des acquis.
La deuxième était l’année du diagnostic sur les capacités individuelles  et les corrections à apporter.  La troisième, celle du pronostic , de la  prévision des performances que chacune peut atteindre.
La quatrième sera celle de l’orientation.
1.D’un côté la sélection des joueuses les plus aptes et les plus volontaires pour tendre vers la performance et la compétition par une intensification de l’entraînement.
L’augmentation du volume d’entraînements pour les filles qui disposent de certaines capacités, de désirs d’objectifs, est obligatoire si l’on veut continuer à tenir tête aux grosses écuries de la formation de jeunes.
J’entends déjà le traditionnel :  « oui, mais il y a les études… ».
Un argument qui,  je le dis au travers de nombreuses expériences, sera vite balayé si la joueuse parvient à s’éduquer sur l’organisation de sa journée (études, entraînements, temps de repos, sommeil, alimentation,…).  En général,  après quelques temps d’adaptations, la joueuse motivée sportivement s’en tire bien, sinon mieux, scolairement.
2.De l’autre, les joueuses qui recherchent le simple fait de se retrouver, jouer ensemble et passer un bon moment en faisant du sport.
Cette différenciation devrait être profitable au club pour que toutes puissent exprimer leurs potentialités suivant leur niveau de motivation, de leurs capacités physico-techniques et des dispositions psychologiques.

A toutes, tous mes souhaits d’une excellente saison 2013-2014."



                                                                                              ERIC LAFALIZE  
                                                                                              Juin 2013

dimanche 12 mai 2013

Aujourd'hui, nous retrouvons les pensées de notre entraîneur général. Bonne lecture!


Il y a quelques semaines lors d’un plateau, je remarquais,  entre deux rencontres,  un père tentant d’expliquer à sa progéniture ce qu’il fallait faire pour réceptionner un ballon.
Avec  bien du mérite, au vu du peu d’écoute qu’il avait en retour.
Me vint alors cette question à l’esprit. Si notre rejeton aime le même truc que nous, pouvons-nous encore, sans culpabiliser, lui filer des tuyaux qui lui permettront de dribbler les erreurs par nous  jadis  commises  quand nous étions joueur ou, si nous n’étions pas joueur, lui donner des conseils en regard de ce que l’on perçoit sur ce qu’il devrait faire pour améliorer ses prestations ?
Un père qui avait sans doute à l’esprit : « Je ne vais quand même pas la fermer quand je suis persuadé qu’elle jouera mieux si  je l’ouvre ».
En clair, lui expliquer en détails ma frappe et mon service, lui décortiquer ma passe et mes balles placées, lui seriner qu’il faut utiliser ce pied-là  en réception quand le ballon arrive de ce côté-ci,….parce que je l’ai compris tout seul à 18 ans et que c’était déjà trop tard.
Et mille autres choses encore.
Pas pour bourrer le crâne, mais pour transmettre.
Parce qu’il n’y a rien de plus pelant que de voir les gaffes et les erreurs se perpétrer de génération en génération.
Il ne s’agit pas d’inoculer le virus du volley, mais de transmettre un savoir.
Même si le père n’est ni  joueur ni entraîneur, et qu’il le fait plus instinctivement car il en a perçu des critères de réussite.
Bon,  jusque-là, tout va bien.
Cela se complique si lors du plateau se trouvent papy et mamy ou un extérieur à la famille dans les gradins. Et qu’à la fin du match, cet extérieur  se permet une phrase du genre :   « Plus tard, tu joueras à Cannes ou en Equipe de  France, n’est-ce pas ? ».
« Mais non », dira le père….  « Il s’agit juste qu’elle fasse du sport, pas qu’elle devienne  la championne que je n’ai pas été ! ».
Mais si qu’il en rêve ! Mais seulement un peu…Comme quand on veut gagner à l’Euromillions ou avoir le Quinté dans l’ordre.
En sachant qu’il y a peu de chance si l’on tient compte  des lois du don, de l’apprentissage, des accidents de parcours  et des statistiques.
Un rêve secret qu’il faut penser à transformer en rêve éveillé.
Car il faut voir plaisir et non carrière.
Transmettre le savoir ne doit pas être obnubilant.
Apprendre le volley est une clé pour l’âge adulte. Mais doit faire partie d’un trousseau, comme la natation, le dessin, la musique, le VTT, etc…
En résumé, goûter à tout sans s’obséder sur rien. Que chacune se transcende dans cette activité principale de volley,  mais sans être fermée à d’autres activités.
Savoir que si le volley est la chose qui l’occupe le plus aujourd’hui, cela ne l’empêchera  pas demain d’être occupée à d’autres choses avec autant de bonheur.
Que donc pour le moment présent, le volley reste un plaisir, même si la jeune joueuse doit essayer de tirer le meilleur d’elle-même (et par conséquent avoir le goût  de l’effort, pas toujours compréhensible avec la notion de plaisir).
Tout cela pour que la joueuse ne vous reproche pas plus tard : « Bon, maintenant que je t’ai gagné ton Championnat  du Var, ta Finale de Ligue, …etc, tu me lâches les baskets ! Je m’inscris à  des cours de musique pour chanter comme les One Direction, je suis une formation sur le lissage des cheveux, et j’attaque  la collection des blagues de Carambars ! ».

Parents, entraîneurs, essayons que ce jour-là n’arrive pas.
Eric LAFALIZE – Mai 2013

vendredi 15 février 2013


Comme d'habitude, il y a des stages pendant les vacances scolaires. Pour ceux ou celles qui sont tête en l'air, voici le récapitulatif.

1ère semaine à Pastorelli:

Le samedi 16 février:
16h 18h minimes et cadettes

Le mardi 19:
14h30 17h30 école de volley et poussin(e)s

Le jeudi 21:
14h30 17h30 cadets+Déborah, Johanna, Laurine et Marine

2ème semaine aux Bosquettes:

Le mercredi 27:
14h30 17h30 benjamines

Le samedi 02:
16h 17h30 benjamines
17h45 19h30 minimes

Bons stages!!!!!

lundi 7 janvier 2013

Party time!



Le 14 décembre, nous avons fait le tournoi du téléthon, ouvert à tous les licenciés, leurs parents ou enfants, et aux "sympathisants" du club. Il s'est déroulé dans une super ambiance, avec 8 équipes inscrites en 6x6! C'est l'équipe composée de Noémie Barra, Naomie Hoé, M. Wicker, Amélie Lafet, Olivier Dorey et Rudy Ippindo qui a gagné. Bravo à ce joli mélange!!!!

















les finalistes



Ensuite, nous avons mangé tous ensemble dans le
dojo le désormais traditionnel couscous!
La soirée s'est finie tard pour certains ;-)
la préparation des tables